Mycose du pied : tout savoir

Les mycoses du pied sont relativement fréquentes. Ces infections, provoquées par des champignons, peuvent toucher la peau ou les ongles. Très contagieuses, elles sont vouées à progresser si aucun traitement antifongique n’est apporté. Découvrez dans ce dossier quelles sont les causes des mycoses, comment les reconnaître, ainsi que les différentes solutions pour éradiquer ces indésirables infections fongiques.

L’onychomycose : quand les champignons s’attaquent à l’ongle

L’onychomycose – ou onychomycosis - désigne une infection fongique localisée sur un ou plusieurs ongles. Elle peut toucher les mains comme les pieds, même si elle est plus fréquente sur les seconds. 

La plupart du temps, c’est le champignon de type dermatophyte qui est en cause. Les levures et les moisissures peuvent aussi en être responsables, dans une moindre mesure. Leur particularité ? Ils prospèrent dans les atmosphères chaudes et humides. Vous risquez donc de croiser leur route si vous fréquentez la piscine, le sauna ou la salle de sport. Il suffit en effet d’un contact avec une surface ou un objet contaminé pour être atteint à son tour. Les personnes qui sont en contact fréquent et prolongé avec l’eau, ou qui portent des gants à longueur de journée sont plus à risque de développer une mycose au niveau des ongles de mains.

Résultats après 2 applications par jour du Ongles abîmés par une mycose Alvadiem.

Comment se manifeste-t-elle ?

L’onychomycose est assez facile à reconnaître. Dans un premier temps, vous pourrez noter l’apparition d’une tache blanchâtre ou jaunâtre sur un ongle. Ce dernier devient plus épais et plus cassant. A un stade avancé, il devient plus friable et s’abîme facilement. Il peut même aller jusqu’à se décoller du lit unguéal. La tache jaunâtre s’élargit progressivement et les champignons peuvent s’attaquer aux ongles adjacents ou à la peau.

Quel traitement pour une onychomycose ?

Il faut agir vite, dès les premiers signes, pour éradiquer les champignons en cause. En effet, la mycose unguéale, tout comme celle de la peau, est très contagieuse. Vous pourriez donc contaminer vos proches. Elle est aussi bien souvent coriace. Les traitements peuvent s’étendre sur plusieurs semaines ou plusieurs mois. 

Les onychomycoses sont souvent traitées par des vernis antifongiques. Ceux-ci s’appliquent directement sur l’ongle. Ils contiennent, la plupart du temps, du ciclopirox ou de l’amorolfine. 

Si vous privilégiez les solutions naturelles, il est également possible de combattre le problème avec certains produits comme les huiles essentielles. Celles de Tea Tree et de Palmarosa sont réputées pour leurs propriétés antifongiques. L’idéal est de les mélanger à une huile végétale, puis de les appliquer sur la zone à traiter. Vous pouvez également en mettre quelques gouttes dans une bassine d’eau chaude pour un bain de pied ou de main. 

Moins contraignant, mais tout aussi efficace et naturel, le soin Ongles Abîmés par une Mycose d’Alvadiem apporte une solution durable contre les infections fongiques. Ce gel s’applique en un geste grâce à son embout pinceau. Facile à doser, il délivre la juste quantité de produit. Ses 99% d’ingrédients d’origine naturelle dont la propolis noire et le terpinéol, 20 x plus efficace que l'huile essentielle de Tea Tree, en font un produit incontournable pour ceux qui veulent prendre soin à la fois de leurs ongles et de leur santé.

Vous n’êtes pas sûr(e) du diagnostic ou vous ne voyez pas d’amélioration notable ? Prenez rendez-vous chez un professionnel de santé : médecin, dermatologue ou podologue. Ce dernier pourra vous prodiguer des conseils pour venir à bout de l’infection, et éventuellement de prescrire de nouveaux traitements, par exemple des médicaments par voie orale.

Les mycoses de l’ongle de pied, des infections fréquentes

Si les onychomycoses peuvent s’inviter sur les ongles de main, c’est bien sur les pieds qu’elles sont les plus fréquentes. C’est l’ongle du gros orteil qui est le plus fréquemment touché. Rien d’étonnant à cela : en marchant pieds nus, on majore le risque de rencontrer les dermatophytes. La solution serait-elle de toujours porter des chaussures ? Eh bien, pas toujours. En étant chaussé, le pied peut avoir tendance à macérer, à transpirer, ce qui augmente l’humidité et donc la présence des champignons. Les signes qui doivent vous alerter sont les mêmes que pour les ongles de main : tache jaune, ongle épais, qui a tendance à être plus friable. A un stade avancé, la mycose peut provoquer des douleurs et gêner la marche.

Comment prévenir la mycose sur les ongles de pied ?

Quelques gestes simples peuvent éviter une contamination :

• Portez des sandales dans les lieux publics : piscine, sauna, douches partagées…
• Au quotidien, portez des chaussures respirantes et confortables, qui vont limiter la transpiration. Le cuir et la toile sont des matières à privilégier ;
• Si vous avez tendance à transpirer abondamment, si vous êtes sportif ou si vous portez des chaussures de sécurité à longueur de journée, vaporisez chaque jour un déodorant pour les pieds comme notre Déo 3-en-1. Il garde les pieds au sec, lutte contre les odeurs et régule le microbiote en un geste ;
• Adoptez une hygiène parfaite des pieds : lavez-les soigneusement chaque jour, sans oublier l’interstice entre les doigts de pied, séchez-les avec attention et coupez vos ongles régulièrement.

La mycose pied d’athlète

Ce type de mycose désigne une infection cutanée au niveau du pied. Les mycoses peuvent en effet siéger sur différentes parties du corps : plis, muqueuses, cuir chevelu…Les pieds, qui évoluent dans l’atmosphère souvent humide de nos souliers, ne sont pas épargnés. On parle d’ailleurs de « pied d’athlète » en référence aux sportifs. Ces derniers, du fait de leurs activités, ont souvent les pieds humides. Ils sont donc particulièrement sujets à ce type de problèmes.

Comment reconnaître le pied d’athlète ?

Le pied d’athlète, parfois appelé tinea pedis (« teigne du pied »), se caractérise par une peau très sèche et la présence de squames. Elle s’accompagne de démangeaisons, de rougeurs et de petits boutons qui peuvent créer des lésions. Des mauvaises odeurs peuvent être présentes. Le pied d’athlète se manifeste souvent entre les orteils ou à proximité, sur la zone de l’appui plantaire et parfois sur l’ensemble du dessous du pied.

Prévention et traitement du pied d’athlète

Deux gestes principaux vous aideront à prévenir ce type de mycose. Dans un premier temps, évitez de marcher pieds nus dans des lieux publics. Porter des sandales est un moyen simple et efficace d’éviter les dermatophytes ! 

Lavez soigneusement vos pieds chaque jour. Si vous transpirez abondamment, privilégiez les chaussettes et chaussures respirantes pour limiter la macération. Le cuir, la toile et le coton font partie des meilleures options, tandis que les tissus synthétiques sont à éviter autant que possible. Appliquez un déodorant pour les pieds, comme le Déo Pieds 3-en-1 d’Alvadiem. Il suffit d’un pschitt pour éliminer les odeurs, garder les pieds au sec et rééquilibrer le microbiote cutané. Ce spray peut aussi être utilisé dans la chaussure pour l’assainir. Pratique, efficace et made in France, il est plébiscité par nos clients qui lui attribuent la note de 5/5 !

Les premiers signes de la mycose sont là ? Il faut agir ! Le Mycospray Assainissant, à base de Propolis Noire, de Terpinéol antifongique et de Pré- et probiotiques crée un environnement défavorable à sa prolifération. Le plus du Mycospray ? Il peut être utilisé sur toutes les mycoses, quelle que soit leur localisation (plis, peau, ongles…) et affiche 98% d’ingrédients d’origine naturelle. Contrairement à certains produits antimycosiques, il peut être utilisé sur les peaux sensibles et sur tous types de patients : femmes enceintes ou allaitantes, enfants, diabétiques…Il agit avec douceur et ne comporte pas d’ingrédients nocifs pour la santé. Les bains de pied peuvent être envisagés en complément. Plongez vos pieds dans une bassine d’eau tiède, additionnée de 4 cuillères à soupe de bicarbonate ou de vinaigre de cidre pendant une quinzaine de minutes. Séchez-les ensuite soigneusement.

La mycose entre les orteils

La mycose siège volontiers dans les espaces interdigitaux, en particulier entre le 3ème et le 4ème ou entre le 4ème et le 5ème orteil. On parle d’intertrigo des orteils. L’espace interdigital va changer d’aspect avec la présence des champignons. L’épiderme se met à peler et parfois à suinter. Les démangeaisons sont importantes, et une sensation de brûlure peut se faire sentir. Celles-ci sont plus marquées le soir, au moment de vous déchausser.

Les bons gestes et nos conseils pour la traiter

Une mycose s’est installée entre vos doigts de pied ? Il faut à tout prix éviter la macération, favorable à la prolifération des dermatophytes. Une mycose cutanée non soignée peut en effet s’étendre à l’ongle ou au reste du pied.

Nos conseils :

• Lavez-soigneusement vos pieds, chaque jour ;
• Vous pouvez effectuer des bains de pied, comme précédemment décrits, pour purifier la peau. Après la douche ou le bain, séchez soigneusement l’espace entre les orteils pour éliminer toute trace d’humidité. Vous pouvez utiliser un sèche-cheveux pour parfaire le séchage ;
• Appliquez un soin antifongique : crème, gel ou spray comme le Mycospray, qui permet d’atteindre toutes les zones du pied à traiter sans effort ;
• Si vous transpirez beaucoup, utilisez un déodorant pour les pieds. En absorbant l’humidité et en régulant la transpiration, il contribue à créer un environnement défavorable aux dermatophytes ;
• Changez de chaussettes chaque jour, en privilégiant celles en coton qui sont plus respirantes ;
• Idéalement, alternez les paires de chaussures. Vos souliers auront ainsi bien le temps de sécher avant d’être portés à nouveau. 
• Veillez à désinfecter les différentes surfaces après votre passage. Vous pouvez contaminer votre famille, via la douche, le tapis de bain ou les serviettes.

Mycose entre les orteils : faut-il consulter un médecin ?

La mycose est une infection gênante, mais elle reste bénigne. Il faut s’armer de patience pour la déloger. N’hésitez pas à demander l’avis d’un médecin, d’un dermatologue ou d’un podologue, en particulier dans les cas suivants :

• La mycose continue de s’étendre malgré les soins apportés ;
• Les lésions cutanées semblent s’infecter ;
• Vous présentez d’autres symptômes : pied gonflé, rouge, douleurs…
• Vous souffrez de diabète, vos défenses immunitaires sont affaiblies par une autre pathologie ;
• Vous n’êtes pas certain du diagnostic. D’autres maladies, comme le psoriasis, peuvent être confondues avec la mycose, d’où la nécessité de demander l’avis d’un professionnel de santé.

Vous avez randonné en pleine nature et traversé des hautes herbes ? Inspectez vos jambes à la recherche de tiques. Cette araignée minuscule, qui se trouve en forêt, attend qu’un hôte passe à sa portée pour s’y accrocher. Seul hic : sa morsure peut passer totalement inaperçue et la tique peut transmettre la maladie de Lyme. Retirez-la délicatement avec un tire-tique et surveillez le site de la morsure pendant quelques jours. Si un érythème de forme concentrique apparaît – un cercle rouge se forme autour de la piqûre et s’étend progressivement – consultez sans tarder. Un traitement antibiotique vous sera proposé. 

Fait rare, mais potentiellement grave : la morsure de serpent. En France, seules les vipères sont venimeuses. Il faut toutefois savoir qu’elles n’injectent du venin que lors d’une morsure sur deux. Dans tous les cas, vous devez appeler les secours au plus vite. En attendant, restez calme et immobile, idéalement en position latérale de sécurité – pour limiter la diffusion du poison. Vous pouvez désinfecter la plaie si vous avez ce qu’il faut sous la main. Evitez tous les gestes contre-productifs, qui au mieux n’ont pas d’intérêt, et au pire aggravent la situation. Par exemple, poser un garrot, utiliser un anti-venin, appliquer de la glace ou une pommade…La prise en charge à l’hôpital est obligatoire. Les traitements sont administrés en fonction de la réaction engendrée : antalgiques, sérum antidote…Une surveillance de plusieurs heures est nécessaire pour surveiller l’évolution de la morsure et des symptômes qui y sont liés.